tl, la ligne des innovations

1896
Adrien Palaz fonde les tl

Adrien Palaz fonde les tl

Le 21 décembre 1894, Adrien Palaz obtient la concession fédérale pour l’établissement d’un réseau de tramways. L’année suivante, pour financer son entreprise, l’ingénieur propose par voie de presse la souscription à un capital-actions partagé pour moitié entre les Lausannois et la commune de Lausanne. Le 5 juin 1895, les actionnaires réunis adoptent les premiers statuts de la Société des Tramways lausannois.

Le réseau, composé de six lignes et d’une longueur totale de 7,2 km, est inauguré le 29 août 1896 et marque ainsi la naissance des tl. Il se compose d’une ligne circulaire autour du centre-ville empruntant la « Ceinture Pichard » et de cinq lignes en direction des banlieues et de la gare à Saint-François. Il est alimenté par l’usine électrique située entre la rue Saint-Martin et la rue César-Roux, c’est aussi ici que se trouvent les premiers locaux administratifs, un atelier et un dépôt.

peu avant, en 1877
Lausanne Ouchy

Lausanne Ouchy

Le premier funiculaire d’Europe est inauguré le 15 mars 1877 par la compagnie du chemin de fer Lausanne-Ouchy. Il permet de relier le port d’Ouchy et la gare de Lausanne. La nouvelle ligne remplace ainsi le transport de marchandises assuré par dos d’âne entre les bateaux à vapeur naviguant sur le Léman et la gare ferroviaire. Très vite, les usagers du funiculaire le nommeront « La Ficelle ».

En 2012, les sociétés propriétaires de chaque ligne (Tramway du Sud-Ouest lausannois SA et Métro Lausanne-Ouchy SA) sont radiées du registre du commerce. Leurs actifs sont repris par les TL, qui sont désormais à la fois propriétaire et exploitant du réseau.

puis en 1879
Lausanne gare

Lausanne gare

Entre la gare et le Flon, une seconde ligne de funiculaire dite Lausanne-Gare ou LG est construite en parallèle à « La ficelle » à partir de 1878 et est inaugurée le 5 décembre 1879 permettant ainsi de créer un flux de marchandise entre les barques venues du lac et les trams venant des campagnes.

En 2012, les sociétés propriétaires de chaque ligne (Tramway du Sud-Ouest lausannois SA et Métro Lausanne-Ouchy SA) sont radiées du registre du commerce. Leurs actifs sont repris par les TL, qui sont désormais à la fois propriétaire et exploitant du réseau.

1902

L’ascenseur de Bel-Air

La vallée du Flon est une zone d’entrepôts et de marchandises qu’exploite l’entreprise ferroviaire, industrielle et immobilière Lausanne-Ouchy (L-O). En 1897, elle a inauguré le premier funiculaire d’Europe pour relier le port d’Ouchy et la gare de Lausanne ; les usagers la nomment « La Ficelle ». Une seconde ligne s’étire aussi jusqu’au quartier du Flon devenu marchand. D’ailleurs, l’entreprise ferroviaire cherche à rationaliser les transports de marchandises qu’elle effectue entre la gare de Lausanne et la ligne de tramway passant à Bel-Air juste au-dessus de ses entrepôts du Flon. En 1900, la Compagnie L-O fait construire un ascenseur hydraulique géant permettant de monter et descendre des wagons. La voie de sortie de l’ascenseur est raccordée au réseau des tramways, permettant ainsi un transbordement simplifié des marchandises.

1902
Le tram du Jorat

Le tram du Jorat

Dans le but de sortir la région de l’isolement et faciliter l’écoulement de ses produits agricoles, la compagnie du Jorat met en service en 1902 sa ligne Lausanne-Moudon.

1906
Une liaison pour aller patiner

Une liaison pour aller patiner

La compagnie des chemins de fer régionaux du Jorat loue en 1902 une parcelle de terrain dans la plaine de Sainte-Catherine, pour y établir un étang de patinage. En 1910 lorsque les tl reprennent l’exploitation des chemins de fer électriques du Jorat, la concession de l’étang à patiner de St-Catherine leur est remise, ce qui leur permet de proposer ainsi une offre de loisirs au bout de la ligne.

1929

Service des excursions

Dans le courant des années 1920, les tl développèrent un service d’excursion dans le but de réduire le déficit du service concessionnel. Introduit en 1929, ce service permit dès la première année de diminuer les pertes. Il prospéra dans les années 1930, nécessitant l’achat de petits autobus de treize à dix-neuf places. Pendant les premières années, les cars des tl sillonnaient aussi bien la ville, le canton et la Suisse, transportant écoliers, touristes et sociétés. Dès 1935, ils proposèrent des excursions à l’étranger puis 1939, les tl proposaient une vingtaine d’excursions différentes, notamment en Italie et au sud de la France. Après un arrêt temporaire pendant la guerre, le service repris avec quarante-sept courses en suisse et vingt-deux à l’étranger. En 1954 les TL abandonnèrent les excursions à l’étranger, car il fallut pour les maintenir renouveler tout un parc de matériel roulant. Ils concentrèrent dès lors leur activité au service des entreprises et écoles de la région lausannoise.

1932
Lausanne inaugure le premier trolleybus de Suisse

Lausanne inaugure le premier trolleybus de Suisse

A Lausanne, l’évolution des performances du tramways est impossible, notamment à cause de l’importante déclivité de la ville. De l’autre côté de la Manche, les réseaux de trolleybus sont en plein boom, tout comme en Amérique. La direction de la société des tramways lausannois entreprend un voyage d’études à Hastings en Angleterre, une ville dont la topographie est identique à celle du chef-lieu vaudois. En 1932, les tl testent leur premier trolleybus entre la gare CFF et Ouchy. Le confort et la vitesse conquièrent les utilisateurs. Les dépenses se révèlent inférieures à l’exploitation du tramway. Les tl décident de généraliser l’usage du trolleybus.

1955
Les bus directs lancent le service à la demande

Les bus directs lancent le service à la demande

En 1955, les tl introduisent le « Bus Direct », notamment au départ de la gare CFF : des véhicules de petite capacité doublent les courses régulières en empruntant dans la mesure du possible des raccourcis. Ce service est étendu dès 1956 à d’autres lignes pour lutter contre la concurrence du trafic individuel et celle des nombreuses entreprises de taxis qui se sont développées depuis 1945 et qui appliquent des tarifs très concurrentiels.

1964
Les tl prennent l’air à l’Expo 64

Les tl prennent l’air à l’Expo 64

En 1964, l’exposition nationale suisse (Expo 64) se tient à Lausanne. L’accès Est se fait par la voie des airs grâce à un système de télécabines créé pour l’occasion. Au départ d’Ouchy elles amènes les visiteurs jusqu’à Vidy. Les tl ont en effet reçu la mission de réaliser et d’exploiter cette liaison. Septante-huit cabines à quatre places ont transporté en moyenne 6’000 voyageur·euse·s par jour, 14’600 pour le seul jour de l’Ascension ! Une trentaine d’employé·e·s des tl ont été affecté·e·s à ce service spécial.

1968

L’automate à ticket à l’arrêt

Avec la notion de self-service, l’introduction des automates aux arrêts remplace petit à petit la vente de titres de transport à bord par le personnel. Le modèle retenu est celui de la maison Sadamel à la Chaux-de-Fonds. Les appareils évoluent au rythme des adaptations tarifaires. A l’origine deux boutons suffisent pour obtenir un billet. La course d’une heure coûte 50 centimes. Les appareils sont aussi équipés d’un oblitérateur servant à valider les cartes multi-courses qui ont supplanté les carnets de tickets.

1991
Un métro pour relier l’Ouest lausannois

Un métro pour relier l’Ouest lausannois

Dans les années 70, les facultés universitaires et l’Ecole polytechnique fédérale commencent à quitter le centre de Lausanne pour s’installer à Ecublens sur un nouveau campus, tandis que le Sud-ouest lausannois se densifie. Dès lors, le Canton envisage le développement d’une desserte en transports public sur un tracé qui relie les Grandes Ecoles et le centre-ville. Le métro se révèle être le moyen de transport collectif le plus approprié pour améliorer la qualité et la capacité des transports publics qui desservent le Sud-ouest lausannois. Inauguré en 1991, le m1 s’appelle alors le TSOL (Tramway du Sud-ouest lausannois), il est le premier métro de Suisse ! Il reçoit le « Rail d’Or » qui salue l’innovation et l’audace dans le domaine des transports publics. Le dépôt-atelier du métro à Ecublens est lui aussi récompensé par la distinction Vaudoise d’architecture l’année d’après.

1997

Carte Galaxy comme porte-monnaie digital

Premier porte-monnaie digital, la Carte Galaxy permet aux client·e·s de stocker simplement, au moyen d’une carte, une somme d’argent qu’un automate à billet débite en fonction du titre de transport sélectionné.

1999
Faciliter l’accès aux transports publics pour les touristes

Faciliter l’accès aux transports publics pour les touristes

Pour faciliter les déplacements des touristes et encourager l’utilisation des transports publics, Lausanne Tourisme, la branche hôtelière et les tl s’entendent sur la création d’une carte de transport gratuite pour les personnes séjournant dans un établissement de la région Lausannoise payant la taxe de séjour. La Lausanne Transport Card agit comme un titre de transports sur tout le réseaux tl. Elle permet aussi de bénéficier d’avantages et rabais auprès des musées, commerces et prestataires de loisirs.

1999
Les Bus à gaz et leur station de recharge

Les bus à gaz et leur station de recharge

Pour répondre aux préoccupations de la Ville de Lausanne et à sa politique environnementale, les tl acquièrent des bus fonctionnant au gaz naturel. En collaboration avec le chef-lieu vaudois, ils font installer sur le site de Perrelet une station de recharge ouverte à tous. Les bus à gaz remplaçant complètement les bus Diesel Euro0, les ateliers et les dépôts sont équipés de détecteurs de gaz et des formations sont dispensées aux employé·e·s pour s’adapter aux nouveaux véhicules. Les coûts trop élevés pour maintenir la station de recharge forcent l’abandon du programme de bus à gaz en 2017. Les véhicules sont vendus pour être recyclés vers d’autres pays et entreprises de transport. Après leur retrait, ils sont remplacés par des autobus Mercedes Euro6 Diesel devenus plus écologiques que le gaz.

2000
Un bus 4x6 bi-mode

Un bus 4×6 bi-mode

Lors du renouvellement de la flotte vieillissante des années 60, les tl optent pour 28 trolleybus du fabricant Neoplan. Chaque roue possédant un double moteur électrique intégré dans le moyeu, cette innovation et première mondiale permet d’avoir un plancher plat partout dans le véhicule, ce qui le rend plus facilement accessible. Malheureusement une série d’incidents obligera l’entreprise à les retirer de sa flotte 6 ans après leur première circulation.

2000

La carte Galilée pour renouveler son abonnement

Premier support d’abonnement digital, la carte Galilée permet aux client·e·s de renouveler leur abonnement de manière totalement autonome grâce à la borne Copernic. Il s’agit d’une première dans les points de ventes tl.

2002
Un système d’aménagement du temps de travail novateur

Un système d’aménagement du temps de travail novateur

Unique dans le monde du transport, l’Aménagement du temps de travail (ATT) permet aux conducteur·rice·s de créer leur planning de travail « à la carte » en choisissant la ligne, l’horaire et la journée de leur choix. En outre ce système se base sur l’ancienneté des collaborateur·rice·s offrant ainsi plus de choix. Non seulement il permet une reconnaissance naturelle des années de travail mais également de vérifier que chaque choix corresponde à la base légale de la loi sur la conduite. Un système 100% tl.

2008

Le métro m2 premier métro automatique de Suisse

Première ligne de métro automatique de Suisse, le m2 est aussi l’un des plus pentu au monde. Entré en service en octobre 2008, il roule sur les traces de la Ficelle, qui lui laisse sa place entre le port d’Ouchy et le quartier du Flon après 128 ans d’exploitation. Ensuite, il s’en va rejoindre le CHUV pour terminer sa course sur les Hauts de Lausanne. En aplanissant les pentes, en raccourcissant considérablement les distances et les temps de parcours, le métro m2 a révolutionné la mobilité des Vaudois·e·s qui voyagent nombreux·ses dans la capitale. Si le mode de transport est tout à fait nouveau, l’approbation de sa construction par le peuple l’est aussi ! En effet, en 2002 le Canton soumet à la votation populaire l’engagement financier qu’il a prévu pour réaliser le métro m2. Le projet est approuvé à 62%.

2010
La digitalisation pour conserver le lien

La digitalisation pour conserver le lien

Après la mise en service du m2, les tl ont beaucoup grandi, ils comptent désormais 900 collaborateur·rice·s. Le sentiment d’appartenance à l’entreprise et le management de proximité sont questionnés. Comment faire pour garantir la transmission d’information et la communication entre des collègues et leur direction quand il·elle·s ne se retrouvent pas sur le même lieu d’activités ? Première pierre à la digitalisation de l’information, intranet est créé. La plate-forme permet de rendre disponibles pour chacun·e en tout temps et tous lieux des documents que l’on trouvait jusque-là en papier uniquement.

2012

tl_pulse une carte qui lie loisirs et transports

Afin d’encourager l’utilisation des transports publics pour les loisirs et pour rendre ceux-ci encore plus attractifs, la communauté tl_pulse est créée. Ses membres sont au bénéfice d’une carte liée à leur abonnement mobilis. Pour quelques francs de plus, elle offre de nombreux avantages ciblés : cinéma, clubs, concerts, restos, sport, librairie, mobilité douce, télécommunication, ainsi que la gratuité sur les lignes de bus nocturnes.

2014

Acheter un titre de transport par SMS

Le principe d’utilisation est simple et révolutionnaire pour l’époque. Acheter son titre de transport avec son « natel » au moyen d’un simple SMS. Le prix du billet, sans majoration, est directement reporté sur la facture de téléphone ce qui offre aux client·e·s une expérience de transport public facilitée.

2015
tl_pulse évolue vers tl_club

tl_pulse évolue vers tl_club

Par extension de tl_Pulse, tl_club propose des offres et des avantages aux client·e·s auprès d’un réseau de partenaires commerçants de Lausanne et de son agglomération. Pour chaque activation d’une offre partenaire à travers l’app tl_club, les client·e·s se voient récompensés de points, également collectionnables sur le réseau via des QR codes cachés. Les points gagnés peuvent être échangés contre des avantages tl.

2015

Innockick un nouveau service pour transporter des colis

En mettant en relation les client·e·s avec des personnes ou commerçant·e·s qui ont des livraisons à effectuer, les tl proposent de profiter des trajets quotidiens effectués pour transporter des colis dans l’agglomération lausannoise sans émissions de CO2. Le service s’appuie sur les technologies web et mobiles, ainsi que sur un réseau de consignes numériques, positionné à des lieux de passage stratégiques. Outre le service de livraison, les consignes peuvent également être utilisées comme lieu de stockage par toutes les personnes se déplaçant au sein de l’agglomération. Ainsi, nous développons un service complémentaire utile à leurs clients et autres habitants de l’agglomération.

2016

SMILE, la mobilité combinée

Développé et coordonné par les tl, en partenariat avec l’Ecole hôtelière de Lausanne (EHL), SMILE est une proposition de mobilité combinée. Six modes de transports différents sont accessibles au travers d’un seul abonnement. Proposés aux étudiant·e·s, ainsi qu’aux collaborateur·rice·s de l’EHL ce programme répond aux besoins de mobilité du campus du nord lausannois.

2016

MOVI+ mutualise les ressources et les outils

Pour répondre aux défis d’un environnement qui se complexifie, les entreprises de transports publics ont créé MOVI+ autour d’une vision commune : mutualiser des ressources et des outils, renforcer la confiance et faciliter la collaboration entre les acteurs de la mobilité, en priorité dans les domaines de la digitalisation et de l’innovation.

2018

La Ruche et ses premières abeilles

Fidèle à son esprit pionner, les tl intègrent une plate-forme d’innovation. Ce laboratoire, nommé la Ruche a pour mission de favoriser la créativité, la réflexivité et l’interactivité. Fonctionnant sur le principe d’une dynamique, la Ruche rassemble les acteurs de la région lausannoise dans une optique de co-innovation ; en explorant différentes pistes de manière itérative, on construit la mobilité de demain, celle que les tl souhaitent offrir à leur clientèle.

2019
Colision un service de livraison personnalisé

Colision un service de livraison personnalisé

Reprenant le projet pilote d’Innockick Toujours là, Colision propose un service éco-responsable et personnalisable de livraison de colis – dernier kilomètre – s’appuyant sur les flux de transports publics.

2019

Zengo, l’accès à la multimodalité en un clic

La mobilité se définit de moins en moins sur un seul mode de transport, elle devient toujours plus multiple et ceci en fonction du type de déplacement à réaliser. Pour répondre à cette évolution et contribuer à favoriser la multimodalité, l’app zenGo voit le jour avec le concours des Transports publics genevois (tpg). Elle donne accès en 1 click aux transports publics, taxis, voitures de location et vélos en libre-service de la région.

2020
Flexibus

Flexibus

Ce projet pilote est le fruit d’une collaboration au sein des tl et à la suite des discussions menées avec la Commune de Renens. Cette dernière fait le constat d’une desserte Nord-Sud insuffisante. L’objectif est de proposer une solution complémentaire aux lignes de bus pour desservir un maximum de population. Grâce à l’application Flexibus développée en partenariat avec Bestmile les client·e·s peuvent réserver leur course et voir arriver en temps réel leur Flexibus. Un algorithme recoupe alors les demandes et crée en temps réel des parcours. Le·la conducteur·rice suit alors le tracé indiqué par le GPS de l’application qui se met à jour au fur et à mesure des réservations client·e·s. Le parcours est calculé et optimisé afin de minimiser le temps d’attente et le temps de trajet de ce service de transport à la demande.

2020
ParcBus

ParcBus

L’idée d’informatiser et automatiser la gestion du parc de véhicule naît dans les années 2017 au regard du nombre toujours plus élevé de contraintes à intégrer. 2020 voit l’avènement du système ParcBus. Une première dans le monde des transports opérant en dépôt contraint. Grâce à son algorithme complexe développé en partenariat avec les équipes internes, il permet d’accompagner les décisions du quotidien. Un vrai travail de tandem entre l’homme et la machine nécessaire pour faire face à la complexité technique et aux gestions des exceptions demandant l’expérience de l’humain sur le terrain. Passant du papier et crayon au programme informatique avancé, c’est une véritable révolution et un succès de transformation digitale au sein de l’entreprise. ParcBus fait partie de l’écosystème de digitalisation de la chaîne de production incluant les systèmes Hastus, ATT.

2020
L’application guide des JOJ: Yodli

L’application guide des JOJ: Yodli

Pour faciliter le déplacement en transports publics des délégations et des spectateur·rice·s pendant les Jeux olympiques de la jeunesse, les tl développent une application de recherche d’itinéraires : «Guide Me Yodli» du nom de la mascotte de la manifestation. Conçu comme un assistant digital, il suffit de sélectionner la discipline de son choix pour que le lieu de la compétition, le parcours pour s’y rendre et la durée du voyage en transports publics apparaissent. Ce service permet aussi d’acheter en ligne son titre de transport.

2020
Le Chatbot pour renseigner la clientèle

Le Chatbot pour renseigner la clientèle

Un chatbot est lancé sur le site des tl pour répondre aux questions les plus fréquentes de la clientèle. Il n’est plus nécessaire de remplir un formulaire de contact ou de patienter au téléphone pour s’adresser à un·e conseiller·ère. Ce nouveau procédé facilite la recherche d’information sur le site web, tout en conservant un dialogue avec les client·e·s.

2020
Le E-Ticket

Le E-Ticket

Le E-ticket est lancé via l’application de recherche d’itinéraires tl. Une fois la destination choisie, il suffit de sélectionner le billet. Le paiement est possible avec une carte de crédit, Twint ou Paypal. Le billet et le moyen de paiement peuvent être enregistrés dans l’app tl pour rendre la prochaine utilisation plus rapide.

2020
Un superbus plus confortable et plus rapide

Un superbus plus confortable et plus rapide

100% électrique, une batterie sur le toit, des caméras à la place des rétroviseurs, deux soufflets qui laissent passer la lumière, un plancher bas, une capacité plus importante : le trolleybus à double articulation (TBD) répond aux attentes de la clientèle et offre un grand confort de conduite. Sa mise en service marque une évolution dans l’histoire du trolleybus aux tl. Il est un élément indispensable du système de bus à haut niveau de service qui combine des trolleybus de grande capacité avec des aménagements urbains spécifiques garantissant la circulation sur une voie réservée et la priorité aux carrefours. L’association des trolleybus à double articulation et de l’infrastructure dédiée permet d’assurer une meilleure desserte : les trajets sont plus confortables, plus rapides et le temps de parcours plus fiable.

2021
tl + un abonnement combiné multimodes

tl + un abonnement combiné multimodes

Pour permettre d’expérimenter de nouvelles pratiques de mobilité, les abonnements tl+ sont intégrés dans la gamme de produits tl. Il s’agit d’un abonnement qui combine transports publics et vélo ou location de voiture. Une extension multimodale à ses habitudes de mobilité.

2021
Démarrage des travaux de la ligne du tramway

Démarrage des travaux de la ligne du tramway

Le 24 août, la Présidente du Conseil d’Etat vaudois, Nuria Gorrite, lance officiellement le démarrage des travaux du tramway lausannois qui reliera à l’horizon 2026, le quartier du Flon, au centre de Lausanne, et la Gare de Renens. Les tl ont aussi reçu la concession pour poursuivre l’exploitation de la ligne jusqu’à Villars-Ste-Croix.

2023

Premiers e-bus sur le réseau tl

Les premiers autobus électriques (e-bus) fonctionnant sans aucune infrastructure aérienne ont été mis en service sur notre réseau. Ils roulent sur la ligne 24, dite « olympique », qui longe le bord du lac. Ceux-ci fonctionnent avec des batteries, qui sont rechargées au dépôt de Perrelet.

Cette première ligne exploitée à 100% avec des e-bus constitue le premier pas de la transition vers une flotte de bus sans émissions directes et locales de CO2 à l’horizon 2030. L’expérience de la ligne 24 sera très précieuse pour la mise en œuvre du plan de décarbonation. Ces véhicules rouleront aussi régulièrement sur d’autres lignes pour analyser leurs performances sur des parcours plus pentus.